François Biden, pardon, Bayrou, nous explique que nous sommes dans une situation de danger extrême. Rassurez-vous, ce n’est pas encore les chars russes qui seraient aux portes de la ville.
François Bayden et Joe Bayrou préviennent. On est en situation de danger extrême »

Non, c’est notre situation budgétaire qui est alarmante et François Bayrou a quand même un côté Bayden.
On retrouve chez François Bayden la même énergie folle et débordante que chez Joe Biden l’ancien président américain.
Je ne dis pas que notre François Bayrou national sucre autant les fraises que l’ancien président américain, mais enfin, de vous à moi, tout cela ne sent pas l’énergie à plein tube si vous voyez ce que je veux dire.
C’est donc notre François éteint, qui va tenter d’éteindre la dérive de la dette française… en plein été caniculaire propice aux feux de forêts… et de budget !
Pendant que les juilletistes sont partis, et que les futurs aoûtiens veillent sur le pays en assurant la garde estivale, François nous prépare quelques coups de Trafalgar pour le 13 juillet date à laquelle il devrait annoncer les principales mesures budgétaires qu’il proposera pour 2026.
Il faudra que les députés votent ce budget et ce n’est pas gagné tant les mesures qui seront annoncées seront forcément impopulaires à moins que Bayrou ne tape que sur les « riches » (petits, les gros étant déjà partis) en remettant un ISF en augmentant la CSG que pour eux et en supprimant que leurs niches fiscales à eux.
Possible, mais peu probable que cela ne se limite qu’aux riches.
Ils ne sont pas assez nombreux.
Il faut donc taxer les classes moyennes qui elles sont en réalité pauvres mais plus nombreuses.
Et c’est ainsi que plus la gauche demande à taxer les riches que cela aboutit toujours à taxer plus les pauvres !
« On est en situation de danger extrême »: François Bayrou présentera les grandes orientations du Budget 2026 le 15 juillet https://t.co/8EI9mECrEQ via @bfmbusiness
— insolentiae (@Insolentiae) July 6, 2025
50 ans de hausses d’impôts dans ce pays, et il se trouve toujours tout plein de gens pour en réclamer toujours plus sans se rendre compte qu’à partir d’un certain seuil tout cela n’a plus aucun sens ni moral ni économique.
Nous allons nous effondrer et notre François Bayden et sa mollesse n’y pourront rien ou pas grand-chose.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !