La dette publique française a explosé de 1000 milliards d’euros sous Emmanuel Macron, plongeant le pays dans une impasse budgétaire et politique. Le scénario de la banqueroute n’est plus hypothétique, il est imminent.
Dette publique : la France au bord de la faillite
La dette publique mondiale atteint des sommets, mais la France bat tous les records. En sept ans, Emmanuel Macron a creusé un déficit de 1.000 milliards d’euros. À force d’acheter la paix sociale à crédit, le pays s’avance, à découvert, vers une faillite annoncée.
Un monde ivre de dette
Il faut parfois marteler les évidences, surtout quand elles dérangent. Depuis des années, j’alerte sur le dérapage incontrôlé de la dette publique française. Dans Dernière crise avant l’Apocalypse (2022), j’écrivais : « La dette n’est pas une variable comptable parmi d’autres. Elle est le révélateur de notre impuissance politique et de notre renoncement collectif. » Nous y sommes.
La dette des pays développés atteindra cette année 59 000 milliards de dollars, soit 85 % de leur richesse annuelle. Les États-Unis empruntent à tour de bras, l’Allemagne desserre la bride, l’Italie multiplie les émissions. Et la France, fidèle à elle-même, s’enfonce plus vite que tous les autres.
Le gouffre Macron : 1.000 milliards de plus
Sous Emmanuel Macron, la dette publique française a bondi de près de 1.000 milliards d’euros. Mille milliards en sept ans, sans réforme structurelle, sans effort de redressement. Juste une fuite en avant.
« L’État agit comme un joueur de poker perdant qui double la mise à chaque tour, espérant un miracle » (in Dernière crise avant l’Apocalypse, 2022). Le miracle n’a pas eu lieu.
Pendant que le président vantait une prétendue rigueur budgétaire, les dépenses publiques continuaient à croître. Non pour investir, mais pour colmater, apaiser, distribuer. Tout sauf transformer. Résultat : un pays structurellement déficitaire, otage de ses créanciers.
La fin de l’illusion : des taux qui remontent
Pendant la pandémie, les taux d’intérêt étaient proches de zéro. On empruntait sans douleur apparente. Ce temps est révolu. Les banques centrales se retirent du jeu. Les investisseurs deviennent exigeants. Et la charge de la dette explose.
En 2024, le service de la dette dépasse déjà le budget de la défense. Et près de la moitié des obligations d’État mondiales devront être refinancées d’ici 2027, à des taux bien plus élevés.
« Plus on emprunte pour payer les intérêts, plus la dette devient impayable » (in Dernière crise…, 2022). Ce piège à taux variable menace désormais toute la zone euro. Mais c’est la France qui semble la plus vulnérable.
Le piège se referme
La France est aujourd’hui perçue comme un pays à haut risque budgétaire. Et pourtant, le pouvoir continue de faire comme si de rien n’était.
Il parle de compétitivité, mais sans croissance. Il promet des baisses d’impôts, mais sans économies. Il évoque la transition écologique, sans plan de financement crédible. Il ment, en somme.
« Le discours public s’est vidé de sa substance. Il ne reste que des incantations creuses, des postures budgétaires, et un aveuglement presque criminel » (in Dernière crise…, 2022).
Et derrière ces incantations, une réalité brutale : la banqueroute n’est plus une hypothèse lointaine. C’est un scénario sérieux, étudié, modélisé, anticipé. Même si on s’interdit de le nommer.
Refus de voir, refus d’agir
« Un pays surendetté ne gouverne plus, il négocie ses humiliations » (in Dernière crise…, 2022). La France en est là. Elle quémande encore des indulgences, mais elle n’impose plus rien. Ni à ses partenaires, ni à ses citoyens.
Et ce jour-là, quand le système craquera, quand le défaut de paiement deviendra une menace réelle, il ne faudra pas dire qu’on ne savait pas. Il faudra assumer qu’on n’a pas voulu voir.